Commentaire de Arthur S
sur Le torche-cul à un tourment de l'histoire planétaire
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« J’ai par longue et curieuse expérience inventé un moyen de me torcher le cul, le plus seigneurial, le plus excellent, le plus expédient que jamais fut vu …/… comme vous le raconterai présentement. Je me torchai une fois d’un cachelet de velours d’une demoiselle : et le trouvai bon : car la mollice de sa soie me causait au fondement une volupté bien grande.
Une autre fois d’un chaperon d’icelles et fut de même.
…/…
Mais Toujours laisse aux couillons émorche
Qui son ord cul de papier torche.
Si tous
Tes trous
Éclous
Tu ne torches avant ton départ. »
FRANÇOIS RABELAIS, GARGANTUA (1542, VERSION MODERNISÉE)