Commentaire de Et hop !
sur Didier Lallement : Le préfet des très hauts faits


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Et hop ! Et hop ! 7 mai 2019 16:52

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En 2000, il est nommé préfet de l’AisneUn an plus tard, il devient directeur de l’administration pénitentiaire fonction qu’il occupe jusqu’en 2004. Sous l’autorité du garde des Sceaux de l’époque, Dominique Perben, Didier Lallement est à l’origine de la création du bureau du renseignement pénitentiaire et des équipes régionales d’intervention et de sécurité (ERIS). En 2017, un audit de la Société du Grand Paris révèle des irrégularités dans les conditions d’attribution des marchés, alors que Didier Lallement était président de la Commission d’examen des offres (CEO) de la Société du Grand Paris. Pour les magistrats, « le fonctionnement et le rôle de la CEO sont insatisfaisants à plusieurs titres et ne permettent pas de disposer d’une assurance externe suffisante sur la régularité et les conditions d’attribution des marchés, l’équilibre concurrentiel et la préservation des intérêts économiques de la SGP »" (wikipedia)

Issu d’une famille sans envergure, il a fait des études médiocres : une école de commerce payante pour les recalés des concours des écoles publiques, il se place tout de suite dans le réseau socialiste des intercommunalités, c’est un exécutant obéissant et sans états d’âmes.

Il est changé de fonction tous les deux ans, semble-t-il avec à chaque fois une mission délicate à faire passer qu’il exécute sans états d’âmes.


C’est un pur jacobin, très probablement un franc-maçon.


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