Commentaire de Jonas
sur « L'art contemporain français est vu comme un peu en retard »


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Jonas Jonas 11 mai 2019 15:48

L’art contemporain participe à la destruction de la civilisation européenne, faire table rase de l’héritage culturel et technique millénaire occidental, du travail minutieux et le travail d’orfèvre qu’il faut à un véritable artiste pour produire une oeuvre d’art, la recherche des matériaux nobles pour une sculpture, les tons des peintures pour une aquarelle, pour une seule cause, la quête de la Beauté de la création Divine.

C’est l’élite oligarchique (financiers, banquiers, industriels, dirigeants de grandes startup informatiques, directeurs de journaux, etc...) qui dicte au peuple ce qui est art et ce qui ne l’est pas, débilisant les esprits afin d’affirmer une soi-disant suprématie intellectuelle et artistique. L’homme nouveau doit oublier son passé, son héritage culturel et religieux, pour se plier uniquement au consumérisme de la société moderne, effacer en lui la notion de Bien et de Mal, de Beau et de laid.
Toute représentation humaine dans laquelle il pourrait s’identifier, retrouver ses racines, son patrimoine culturel, doit être bannie. Les statues, sculptures de l’art contemporain ne sont que de grotesques formes où l’on à peine à reconnaître quoi que ce soit.

Comme il n’y a plus d’héritage, plus d’Histoire, plus de transmission par les maîtres du passé, l’art contemporain repose essentiellement sur l’attirance perverse afin d’assouvir les instincts les plus puérils : chiens fabriqués avec des ballons gonflables de foire, l’exposition de Jeff Koons au chateau de Versailles est une insulte aux magnifiques pièces de collection qui s’y trouvent, ou les plus vils : pornographie, scènes morbides, mise en oeuvre du caca et du pipi, du sexe, comme le « vagin de la reine », de l’« artiste » Anish Kapoor à Versailles, basés sur la perversion et la provocation, seul moyen d’attirer la curiosité des mécènes.

La grande « oeuvre » de Jeff Koons, la série « Made in Heaven », a été vendue plusieurs millions de dollars. À vous de juger sur pièces.

Milo Moiré créée ses toiles en se promenant nue dessus, glisse des oeufs de poule dans son vagin, qu’elle « libère » lorsqu’elle passe sur la toile.

Joep van Lieshout met en avant dans ses « oeuvres » le sexe, les scènes de tortures macabres et morbides.
http://www.bestinteriordesigners.eu/ateliervan-lieshout/
http://zueccaprojects.com/slavecity-by/

Marcel Duchamp propose un urinoir renversé, qu’il expose comme oeuvre d’art.



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