Commentaire de Hamed
sur L'homme-pensée-cerveau et l'Esprit du monde. Regard métaphysique sur le Hirak algérien, les crises au Soudan, Hong Kong, France
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@foufouille
Bonjour foufouille
Comme JL, vous avez commis un « acte manqué ». Et là aussi dans votre inconscient, sans le savoir, votre pensée consciente a puisé dans votre inconscient, et vous avez fait ce qui est très juste à dire.
Je m’excuse d’user un peu de psychanalyse et un de Sigmund Freud, mais c’est nécessaire pour que vous compreniez votre réponse. Donc, en répétant ce que j’ai écrit :
« « Si l’Europe et les États-Unis perdent la suprématie sur le plan monétaire, à l’échelle mondiale, ils ne pourront plus répercuter leurs déficits publics et courants sur le reste du monde »
trop mort de rire »
Oui, très juste votre « trop mort de rire ». Votre cerveau a compris ce que vous n’avez pas compris puisqu’il répond exactement à ce que j’ai dit. Et je le répète, « Si l’Europe et les États-Unis et tout l’Occident, donc le Japon, le Royaume-Uni et tout les pays dollarisés, eurorisés... perdent la suprématie sur le plan monétaire au niveau monde, c’est fini ces pays seront morts de rire et le rire ne fait pas nourrir. »
Et donc l’Occident doit s’en tenir strictement à son économie et doit entrer en véritable compétition avec l’Asie qui cherchera à le dominer parce que le réservoir de main d’oeuvre est immense et n’aura plus besoin de monnaies occidentales.
Le monde sera compartimenté en grandes zones économiques et monétaires, et les échanges se feront selon les besoins de chaque zone. Ce qu’au fond n’est pas négatif pour les peuples d’’Europe et des Etats-Unis qui conserveront leurs emplois au lieu de les délocaliser vers la Chine, l’Inde et autres pays.
En clair la « mort » de la suprématie monétaire occidentale et le « rire » sera la joie des peuples occidentaux de trouver du travail, de produire des richesses et de nourrir leurs familles au lieu aujourd’hui des quantitative easing des Banques centrales occidentales, qui sont néanmoins une « nécessité » due à la conjoncture.
Un grand merci, foufouille.