Les âmes des élus s’envolent vers le ciel tandis que celles des exclus rejoignent la terre - le « Dis Pater » de César ; je ne suis pas sûr de mon interprétation.

Aujourd’hui, 29 septembre 2019, je pense que c’est cette interprétation qui est juste. Voyez mon interprétation du char de Monteleonne où les esprits des guerriers défunts , qui sont au ciel, en descendent pour solenniser la cérémonie. Nous sommes donc bien là aux sources druidiques de notre pensée religieuse. Comme le dit César, les Gaulois croyaient en un dieu du ciel et en un Dis Pater qui fait naître, c’est-à-dire qui crache la nature. Dans la cathédrale de Chalon, ce dieu du ciel et de la terre est dans le lion, symbole de force — qui crache — qui crée — la végétation — la nature — y compris l’humanité — les hommes. Dans cette logique, les défunts, soit remontent au ciel — les oiseaux — soit retournent à la terre dans Dis Pater et recrachent... ?