Commentaire de Nicole Cheverney
sur Greta Thunberg - la personne, le message et la haine


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Nicole Cheverney Nicole Cheverney 4 octobre 2019 18:42

@ JL

Bonsoir, on parle beaucoup de géo-ingénierie, à commencer par les « réchauffistes ». Mais peu, lient les différentes configurations de la planète et des différents continents, avec la géologie, et la géographie, incluant des variations incessantes climatiques, qui sont si diverses et extrêmement contrastées. Il n’y a pas qu’un climat, il y a des « climats ». Mais les globalistes, tout comme ils ont globalisé l’économie, globalisent aussi les ressources naturelles, globalisent les conditions atmosphériques, etc.
Que dit le Larousse de la définition du climat au singulier ?
Ensemble de phénomènes météorologiques qui caractérise l’état de l’atmosphère en un lieu donné.

Autant de climats que de régions sur terre et de végétations qu’ils déterminent :
Quelques exemples : Climat équatorial : fougères arborescentes dans la forêt guinéenne.
Climat tropical : savane sèche de Centrafrique,
Climat désertique : oasis(Maghreb)
Climat méditerranéen : oliveraies Grèce, Crète, Espagne, Corse.
Climat océanique : façade atlantique en France.
Climat alpin : Alpes françaises, autrichiennes, italiennes, suisses, etc.
Climat arctique : marécages Suède.
Climat subarctique : aux îles Kerguelen, nous trouvons quelques tourbières.

Autre définition du climat un petit peu plus affinée : c’est une réalité géographique de synthèse, toujours dans une région donnée. Le climat est à distinguer du temps qu’il fait. C’est-à-dire de l’état de l’atmosphère à un instant particulier, résultant d’une combinaison éphémère, voire exceptionnelle, des conditions de température, de pression de l’humidité.
La climatologie traditionnelle étudie ces mêmes éléments mais, d’une part, en établissant des « types » créés par la conjonction de ces facteurs. C’est ainsi que les températures moyennes sont relevées et calculées pour l’année, la saison ou le mois. (minima maxima). On appelle cela une amplitude thermique.

Mais les réchauffistes, eux, comparent la planète à une grosse bouboule uniformément réchauffée par le CO2 de nature anthropique.
On ignore les toundra, les steppes, les taïgas, les fjords, les lacs, les montagnes, les fleuves, les petits et grands reliefs, etc. qui chacun, dans leur genre influent sur les climats. Alors que nous pouvons tous constater, que pas un seul endroit de la planète ne se ressemble, n’est identique dans les conditions atmosphériques inhérentes à chaque partie du globe. 
C’est la raison pour laquelle, j’ai plus confiance aux données climatologiques datant des années soixante, jusqu’aux années 80, que ceux très récents de climatologues qui se drapent dans la toge scientifique. alors qu’il ne s’agit malgré de savants calculs que d’une simple histoire de géographie et de géologie : de reliefs. 


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