Commentaire de Pauline pas Bismutée
sur Le paradoxe de la caissière
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Ça fait partie de tout cet enfumage qui nous pousse gentiment (bon, pas toujours) et presque l’air de rien vers la déshumanisation… pour notre bien, bien sûr ! J’ai souvent eu des super conversations avec mes voisins/voisines dans les queues à la caisse, en laissant passer des gens plus vieux, ou handicapés, ou des mamans avec de jeunes enfants … C’est notre responsabilité de résister ! Au « supermarché » et même à l’aéroport, je refuse de passer par leur portique genre science-fiction (ça me rappelle toujours une scène dans « total recall » !), je prends l’air niais et buté (pas besoin de trop me forcer !) quand on me dirige vers ces trucs à la c… et je clame assez fort : « nan, j’aime pas les machines, je préfère les vrais gens ! »