Commentaire de Eric F
sur L'exfiltration de Carlos Ghosn, un cas d'étude
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Le fond de l’affaire est-il que Ghosn ayant entrepris une fusion effective entre Renault et Nissan, le nationalisme nippon a serré les coudes pour le mettre sur la touche ? Tout haut dirigeant a forcément commis des « arrangements » d’optimisation fiscale ou des combines financières, il y avait forcément matière à procédure judiciaire.
A postériori, les procédures de surveillance étaient justifiés, puisque c’est lorsqu’elles ont été levées que le clampin s’est fait la malle. Il avait évidemment des réseaux et des moyens, même au Japon probablement. Et il n’est pas totalement impossible que des « entités » françaises aient contribué, car le projet [avorté] de fusion avait les faveurs de l’actionnaire public.