Arf ! On ne peut pas dire qu’on ne savait pas. Depuis le temps que l’on nous ressasse ce vieil adage du péril jaune, l’idée naît en 1895.

Aujourd’hui, les petits hommes jaunes ont envahis la planète et ne sont pas prêts de s’arrêter en si bon chemin. En 2017, la chine abritait rien que sur son territoire 1,386 milliard habitants et c’est sans compter les cinq continents colonisés par les chinois. Au bas mot, les chinois représentent à eux seuls, environ le quart de la population mondiale qui compte à ce jour : 7,8 milliards d’âmes.

Mais revenons au péril jaune qui est signalé de toutes parts. Les Chinois sont environ 3 milliards sur l’ensemble de la planète . Théoriquement, ils peuvent mettre 1 milliard d’hommes sur pied de guerre. Un beau matin, ils ont envahi les cinq continents, sans massacrer ses habitants et mettre fin à la civilisation occidentale. Ils l’ont fait en se faisant sodomiser pour un bol de riz. Cela paraissait un dogme inattaquable. Mais, on s’est aperçu dans ces derniers temps que les Chinois éprouvent une horreur insurmontable contre le service militaire. Depuis qu’ils se sont laissés battre par les Japonais, dix fois moins nombreux, les pessimistes ont fait volte-face. Le péril jaune n’est plus à craindre sous une forme militaire, du moins pour une période qui peut entrer dans nos préoccupations, le péril jaune vient surtout de l’ouvrier chinois qui se contente de cinq sous.

Et dire que le patronat français en rêve depuis que l’esclavage existe pour le bonheur des capitalistes. Les chinois le font pour un bol de riz sans sécurité sociale, sans retraite, sans chômage, sans charge sociale. A la vie à la mort. En plus ils rient toujours et en prime ils disent merci maître en bout de la chaîne de montage. Il suffit de traîner dans le 13 arrondissement de paris pour voir s’affairer toute cette main d’œuvre chinoise qui commence le boulot dès 6h du matin pour se terminer le soir à 21h portant des cartons sur des diables chargés jusqu’au ras de la gueule tirés à bouts de bras comme des bourricots. Mais la journée n’est pas finie pour autant car le soir et toute la nuit nos petits chinois emmerdent leur voisinage en tapant sur la barbaque pour la restauration ou en faisant de la couture. Ils sont infatigables et invivables en collectivité. Ce sont de véritables parasites. Allez demander à un ouvrier français de bosser comme un baudet. Ces chinois sont imparables ! Des mules ont vous dit.

Et le pire c’est qu’ils ne participent pas à la collectivité mais ils n’oublient pas de profiter des infrastructures écolières, hospitalières etc. La plupart des ouvriers chinois qui travaillent sur le territoire ne sont pas déclarés, ils sont payés en cash et donc ils ne payent pas d’impôts. Les grands gagnants de cette mascarade sont les employeurs chinois et comme ils ne se mélangent pas puisqu’ils travaillent entre eux, tout ce bel argent liquide retourne en chine.

Allez traîner du côté des boutiques qui font transiter l’argent liquide via les réseaux western. Une paille nous dit l’état français qui préfère fermer les yeux par crainte de froisser l’empire du milieu. Quand l’argent vous tient par les couilles il n’y a pas grand-chose à faire que de se mettre à quatre pattes et de faire le beau quand le maître présente un nonosse. Toutes les industries et la production se retrouve en chine. Bientôt pour obtenir un vulgaire doliprane il va falloir sucer xi jinping puisque la production de médoc se trouve en chine et risque de manquer à l’appel avec la saloperie qui tourne en ce moment. Vive la France du fric !

Même l’autre lepen ferme sa gueule à propos des chinois. Pourtant elle ne se lasse pas de claironner de fermer les frontières oui mais avec une idée en tête seulement pour les migrants. C’est pour dire comment les chinois savent acheter le silence des grandes gueules. Vous reprendrez bien un bol de riz pour la route ?