@nono le simplet
Salut
Le nombre de touchés par le coranovirus touche dirons nous plus au secret défense, et à l’économie qu’à la santé. Depuis le début de cette crise, c’est l’économie qui est le souci récurent. Il explique aussi la grande pudeur de L’OMS, un organisme financé par les lobbys pharmaceutiques à 80%, et dont les unités de production sont installés en chine...Autant l’OMS tirait la sonnette d’alarme en toute irrationnalité à l’époque du H1N1, pour pousser les gouvernements à vacciner à tour de bras, faisant l’affaire des trusts pharmaceutique ( La France a alors acheté presque pour un milliard de vaccins qui n’ont pas été utilisé à 10%)autant elle a lambiné et lambine encore pour rien que désigner les choses, se perdant dans des subtilités de langage pour désigner le problème, passant du terme « préoccupant », à « à risque »...il n’y a en effet aucun intérêt financier puisqu’il n’y a pas de vaccin, et l’extension du problème revient en boomerang sur toute l’économie. Il ne faut pas énerver les chinois. Je pense qu’ à l’origine, des alertes qui n(’ont pas été faites, des endiguements, l’arrêt du tourisme dans les régions touchées, auraient stoppé ou au moins ralenti la pandémie, qu’on n’a pas encore nommé ainsi ; c’est dire. Il en va de même de tous les gouvernements, maintenant. A terme, espérons que cette crise remettra en question la mondialisation, car le corano est un révélateur en gras, de toutes nos conneries : Virus lié à la déforestation, pandémie liée à l’absence de frontière, à la mondialisation des échanges, au tourisme à la con, à l’interdépendance des marchés. C’est la rançon du capitalisme turbo compressé. Exigeant pour perdurer la manipulation des foules, dans des pays où il n’y a plus de vision politique, plus rien que des capitaines d’entreprise, ayant hissé le drapeau noir à tête de mort.