Commentaire de Jean Dugenêt
sur Socialisme ou barbarie


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Jean Dugenêt Jean Dugenêt 23 mars 2020 11:05

@Trelawney
Merci de contribuer à votre façon à cette discussion.
Vous vous lancez dans une longue interprétation de cette phrase :

"Ce n’est plus seulement une crise financière. C’est une crise de l’économie mondiale. C’est la crise du capitalisme pourrissant qui nous rappelle qu’il n’y a qu’une alternative : socialisme ou barbarie.« 

Il n’est pourtant guère nécessaire d’interpréter puisque ce qui est dit est suffisamment explicite. Le capitalisme pourrissant cela veut dire effectivement qu’il n’est plus viable. C’est, comme vous le dîtes la fin d’un »système économique« . Par quoi cela sera-t-il remplacé ? La réponse est dans la phrase : soit le socialisme soit la barbarie.

La barbarie, ce n’est pas seulement : »la CB qui fonctionne plus, les fonctionnaires plus payés qui rentre chez eux donc : plus de transports, d’eau potables, de poubelle ramassées, d’infirmiers et de médecins dans les hôpitaux, etc." C’est la généralisation des épidémies qu’un tel système sera incapable d’endiguer et/ou les bombes atomiques qui se mettront à péter car les boutons de déclenchement sont dans les mains de détraqués sexuels cocaïnomanes (Comme par exemple un bisexuel dépucelé par un subsitut-de-maman). Ce sera à terme la survivance d’un résidu d’humanité ou sa disparition.

Le socialisme ce serait la mise à disposition de tous des ressources de la planète avec une gestion qui viserait le mieux être de tous plutôt que la recherche effrénée du profit de quelques uns. Cela se ferait, dans un premier temps, dans le cadre des nations existantes où les exploités ayant pris le pouvoir dans quelques pays deviendraient un exemple pour tous les pays du monde. Rapidement les peuples feraient des accords sans plus jamais se considérer comme des concurrents, des adversaires ou des ennemis mais toujours comme des partenaires où chacun trouverait chez l’autre ce qu’il ne peut pas facilement avoir par ses propres moyens. A terme, les nations disparaîtraient pour se fondre dans une unique humanité. Les hommes seraient très vite amenés à exploiter l’immensité des mers du sud avec toutes les protéines qu’elles peuvent fournir et des sources d’énergies quasiment infinies et non polluantes (vents et courants)...


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