@CLOJAC

Réaction impulsive.
Vous pouvez défendre votre proposition en insistant sur le fait que vous proposez de faire l’essai sur des patients pas en danger de mort.
D’après le peu qu’on sait, la très grande majorité des affectés symptomatiques s’en tirent avec une grosse fatigue.

On pourrait demander leur accord éclairé, et trouver autant de gens rétifs à la molécule que de gens d’accord pour la tester. Encore faudrait-il être capable de déterminer un niveau d’infection commun et pas trop grave.

Venez pas charrier nos agoravoxiennes avec votre sempiternel niveau d’études, svp, sinon je vous ressors mon QI.