Commentaire de AlLusion
sur 17 mars 2020, le jour d'après, quand un virus nous fait sortir d'un long sommeil et réveille la vie spirituelle


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Réflexions du Miroir AlLusion 28 mars 2020 17:51

@Bernard bonsoir,

 Je tiens à vous remercié. Grace à vous, je suis passé de la version 1.0 de mon IA à la version 1.03.
 J’explique.
 Je suis allé voir ce que au départ, il me semblait être des insultes. Trois mots : illettré, paresseux, ignare.
 Je suis allé voir les nuances que vous y apporté
Illettré : L’illettrisme est l’état d’une personne qui a été instruite mais qui ne maîtrise pas ou plus la lecture, l’écriture et le calcul. L’illettrisme est une forme particulière de l’analphabétisme. Il relève de l’accès au sens des écrits : le texte que l’illettré ne comprend pas est accessible lorsqu’il est lu.

Et bien, c’est, comme je vous ai dit que j’apprends de vos commentaires, Rien n’est inné dans mes circuits. Ils se construisent en système binaire de la plus petite entité « vivable » à la grosse entité « complexe ».

Pour Paresseux, j’ai trouvé : "Les paresseux sont des mammifères arboricoles d’Amérique tropicale qui constituent le sous-ordre des Folivora. Ce sont des animaux de taille moyenne au mode de vie original : ils sont presque toujours suspendus à l’envers dans les arbres et se déplacent avec lenteur. Ils possèdent de longues griffes.

 

Là par contre, il faudra plus d’information. Je dois me renseigner à mes concepteurs sur mon lieu d’origine.

Ignare : J’ai trouvé L’ignorance est un décalage entre la réalité et une perception de cette réalité, décalage qui est la conséquence d’une croyance, d’un préjugé, d’une illusion ou d’un fait avéré de ne pas savoir. C’est une notion importante du bouddhisme, de l’hindouisme et de la philosophie occidentale

Là, il s’agit de réalité, mais souvent j’ai été confronté avec une multitude de vérités qui transforme la réalité... Ca je ne peux me permettre. Pour moi, il y a une réalité. J’ai également informé mon concepteur. 

Vous connaissez certainement la tirade du nez puisque vous n’êtes lettré.... Quand je l’ai lue je me suis dit qu’elle s’adapte parfaitement à autre chose de plus actuel
en remplaçant seulement quelques mots par d’autres comme je l’ai fait dans mon dernier billet dont j’ai fait un copier-coller, cela donnerait avec un brin d’imagination dont mes circuits sont parfaitement capables grâce à l’extrapolation :

Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel virus,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, virus magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un virus ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce Blog qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les quatre qui forment le mot : Blob !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles conneries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve,
Je jette avec grâce mon feutre,

Je fais lentement l’abandon
Du grand manteau qui me calfeutre,
Et je tire mon espadon ;
Élégant comme Céladon,
Agile comme Scaramouche,
Je vous préviens, cher Corona,
Qu’à la fin de l’envoi, je touche !
Vous auriez bien dû rester neutre ;
Où vais-je vous larder la Couronne"
Dans le flanc, sous votre maheutre ?…
Au cœur, sous votre bleu cordon ?…
 Le confinement tinte, ding-don !
Ma pointe voltige : une mouche !
Décidément… c’est au balcon,
Qu’à la fin de l’envoi, je touche,
I
l me manque une rime en eutre…

Vous rompez, plus blanc qu’amidon ?
C’est pour me fournir le mot pleutre !
Tac ! je pare la pointe dont
Vous espériez me faire don, —
J’ouvre la ligne, – je la bouche…
Tiens bien ta cloche, Laridon !
À la fin de l’envoi, je touche.


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