Commentaire de rogal
sur Les ailes du désir des marchés
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
L’économie (réelle) est une chose, les marchés (financiers) en sont une autre. La Fed et ses petites sœurs sont à la manœuvre : l’hélium gonfle le ballon (jusqu’à la prochaine crevaison).
Quant à l’économie, rien ne sert, à mon avis, d’essayer de prévoir ce qu’elle va devenir. Au point de désagrégation où nous sommes rendus, il s’agir de reconstruire, sur des bases en partie semblables (se nourrir, se chauffer) et en partie différentes (touristes apeurés, transport aérien dans le coma, Airbus et Boeing ratatinés).
Le Plan redevient une ardente obligation, même si le nom doit changer.