Les « autorités médicales » qui ont virtuellement pris le pouvoir à la mi-mars ont surtout focalisé sur l’aspect hospitalier. Initialement, il fallait attendre que la maladie guérisse toute seule ou que ça s’aggrave, et alors appeler directement le 15. La médecine de ville a été shuntée pendant la première période, avant d’être ensuite un peu remise dans le circuit, mais avec limitation de prescriptions. Pendant les 15 premiers jours du confinement, il n’a été question que des décès à l’hôpital, avant de découvrir la question des EHPAD, qui ont fait alors l’objet d’une procédure spécifique, et il y a eu ensuite progressivement sur-compensation dans les chiffres (toute pneumonie étant « supposée » coronavirale).

On sent, avec la question des « mini clusters », que l’autorité médicale veut conserver la main mise sur l’opinion, et dissuader la reprise de l’activité.
Or on commence à voir des boites au bord de la faillite, et cela va aller en cascade dans certains secteurs (aérien, tourisme, construction aéronautique, automobile et navale, commerce non alimentaire, etc.). Une instabilité sociale là-dessus fera écrouler le tissu économique.