Il y a augmentation du nombre de détections du « covid-19 », comme disent tous les grands médias de désinformation. L’évolution semble suivre globalement le nombre de tests effectués, beaucoup sont fait avec la technique dite de PCR, qui permet simplement de déterminer que la personne est porteuse de matériau génétique ressemblant à celui du covid-19, sans pouvoir dire si c’est bien lui avec certitude et s’il est actif ou non. Par ailleurs on sait que tous les tests donnent des faux positifs (un peu de faux négatifs aussi) et que leur homologation en France a été torchée. Un de nos scientifiques, fondateur d’une startup a qui on avait demandé de valider tous les tests disponibles sur le marché a dit publiquement que des tests invalidés par son entreprise ont été homologués, d’autres reconnus fiables ne l’ont pas été. Il semblerait que ce soit une histoire de « blaireaux dans leur terriers » sur lequel s’est penché un spécialiste en infectiologie marseillais.
Le virus est bien persistant sur le territoire au coeur de l’été, mais les hospitalisations et entrées en réanimation indiquent clairement qu’il n’y a pas de reprise épidémique, juste un bruit de fond.
On sait par ailleurs que par temps chaud toute particule virale a une espérance de vie se comptant en heures plutôt qu’en jours, par déshydratation, donc la période n’est nullement favorable à sa propagation.
D’où la nécessité impérieuse de porter le masque, qui était inutile lorsque l’épidémie battait son plein en mars dernier. C’est le gouvernement qui le dit, on peut lui faire confiance. Non ?...