Commentaire de I.A.
sur Etat des lieux du délire covidéen


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

I.A. 11 novembre 2020 18:12

Je suis d’accord avec vous pour le début de cette crise : une BDA collective, oui, orchestrée par des journalistes qui ont préféré l’émotion à l’investigation.

Je crois toutefois que les responsables se sont rapidement aperçu de leur énorme erreur. Mais plutôt que revenir en arrière, ils ont enfoncé le clou, pensant ainsi faire avaler la pilule. Nous la faire avaler de force, cette pilule, en fait : de délirants, ils sont devenus des criminels politiques...

Leur égo est tellement surdimensionné, qu’il n’y en a pas un, pas une, qui avouera ses erreurs et ses méfaits, ses mensonges et son obstination. Ils vont jusqu’à accuser leur propre enfant, sur un plateau de tv, de leur transmettre la maladie ! Ils imposent le masque à des gosses de 6 ans ! C’est dire si on est déjà très loin dans la tyrannie sanitaire.

A ce stade, ça passe ou ça casse. Ils voient parfaitement comment tout cela risque de finir, vous savez. Mais ne savent plus comment s’arrêter, et pour cause : ils loupent, à chaque fois, les portes de sorties, tellement ils ont peur et tellement tout un chacun en rajoute une couche à la télé... 

Nous sommes donc aujourd’hui dans cette fuite en avant-là, cette spirale d’humiliations et de maltraitances mondiales orchestrée cette fois par une coalition politique internationale, en attente d’un vaccin, en attente d’une solution, d’un clash, d’un... miracle.

(Et du coup, peut-être envisagent-ils effectivement une sorte « réinitialisation mondiale », de manière à conserver le pouvoir et taire définitivement toute contestation).

Il n’est que d’appréhender l’état d’urgence pour ce qu’il est réellement : un coup d’état, avec nos lois qui sont abolies et des forces de l’ordre qui nous contrôlent dans la rue.


Voir ce commentaire dans son contexte