Commentaire de Jean Keim
sur La croisée des chemins


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Jean Keim Jean Keim 17 novembre 2020 08:26

@Bernard Dugué

Pour trouver le carcan (mental) qui nous emprisonne, il faut remonter à la source et comme vous le dites si bien dans un commentaire destiné à Octave Lebel ci-dessous, aucun philosophe contemporain ou pas ne le perçois.

Ce carcan se réduit à une formule aphoristique : la pensée ne peut exprimer que ce qu’elle connait, il y a 2000 ans, un homme singulier l’exprimait ainsi : « Ils vous faut redevenir comme des petits enfants ».


Voir ce commentaire dans son contexte