Commentaire de Jean Keim
sur La pandémie casse les codes de la société
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@SPQR Sono Pazzi Questi Romani
Oui j’ai pratiqué un métier parfois dangereux, j’intervenais sur des installations électriques, souvent sous tension, avec des tensions parfois élevées (qq. milliers de volts), exceptionnellement en hauteur ; non ! je n’avais pas peur pour la bonne raison que les dangers étaient identifiés et les règles de sécurités appliquées, dans le cas contraire je refusais de faire le travail.
Plus que la peur, c’est le déni de la mort qui fait de nous des inadaptés de la vie.