Commentaire de Daniel PIGNARD
sur On veut nous faire vivre à genoux !


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Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 11 décembre 2020 11:30

L’Etat, en se basant sur le couplet 3 de Notre Merveilleuse Marseillaise qui fait partie de la Constitution, doit refuser que les étrangers fassent la loi dans nos foyers. Conclusion : Il faut virer tous les étrangers du gouvernement, du Parlement, de la magistrature, de la force publique, des médias, etc… de tout ce qui est premier dans le pays.

Couplet 3

«  Quoi ! Des cohortes étrangères

Feraient la loi dans nos foyers !

Quoi  ! Des phalanges mercenaires

Terrasseraient nos fiers guerriers ! (Bis)

Dieu  ! Nos mains seraient enchaînées !

Nos fronts sous le joug se ploieraient !

De vils despotes deviendraient

Les maîtres de nos destinées ! »

Le Christ a dit

 « Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens. » (Mt 15 :24-26)

Les droits de l’homme énoncent :

ART. 10. — Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, mêmes religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi.

ART. 11. — La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.


De Gaulle a dit :

" Vous savez, cela suffit comme cela avec vos nègres. Vous me gagnez à la main, alors on ne voit plus qu’eux : il y a des nègres à l’Élysée tous les jours, vous me les faites recevoir, vous me les faites inviter à déjeuner. Je suis entouré de nègres, ici. […] Et puis tout cela n’a aucune espèce d’intérêt ! Foutez-moi la paix avec vos nègres ; je ne veux plus en voir d’ici deux mois, vous entendez ? Plus une audience avant deux mois. Ce n’est pas tellement en raison du temps que cela me prend, bien que ce soit déjà fort ennuyeux, mais cela fait très mauvais effet à l’extérieur : on ne voit que des nègres, tous les jours, à l’Élysée. Et puis je vous assure que c’est sans intérêt. "

(Entretiens avec Jacques Foccart, 8 novembre 1968. cité dans ses Mémoires, tome 2. Le Général en mai. Journal de l’Élysée. 1968-1969, éd. Fayard/Jeune Afrique)



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