Commentaire de Nicolas Cavaliere
sur Une mine d'emmerdes
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@Opposition contrôlée
Je ne nie pas que sous cette tranquillité apparente il y ait des actions humaines et une exploitation de la nature. Mais l’industrie pousse à une désorganisation d’une toute autre intensité qui ne comble pas des besoins aussi immédiats que celui de se remplir l’estomac. Il ne s’agit plus d’arroser et de faire pousser mais de creuser et de morfondre. Oui, je préfère le jardin à l’usine.