... bon, à lire cet « article » et sans s’attacher aux texte lui même hautement déconnecté de la réalité, interpretant les faits et les intentions seulement quand cela conforte le bur recherché, je vais considerer un seul point : la courbe !

Je fais abstraction des lignes verticales rouges et je constate que les décés sont globalement stables (au delà du bruit de fond global) à l’exception de quelques événements ponctuels : grippes, canicules... qui même s’ils ne sont pas de même natures entraînent, hélas, la mort.

... et que constate-t-on ? que chacun de ces événements ont un début et une fin, peu importe les circonstances car c’est automatique... dans le cas des maladies c’est le biologique qui agit, dans le cas des canicule, c’est la saisonnalité etc...

Nous avons déjà DEUX « expériences » et, pour supporter le message de l’auteur de l’article, ces courbes semblent valider la pertinence du confinement. (je rappelle, indiqué par les lignes verticales rouges).

Ma conclusion a moi, que certains vont contester, n’est pas du tout celui de l’auteur car ce n’est pas le confinement qui a réduit la mortalité, mais tout simplement les conditions biologiques et climatiques.

Nous parlons de « variants », qui est une consequence structurelle de l’adaptation du virus par simple effet darwinien (le plus adapté survit) mais dans tous les cas les organismes porteurs s’adaptent aussi pour les mêmes raisons. 

D’épisodes en épisodes nous pourrions dessiner des modèles indiquant que chaque variant et chaque condition exterieure vont provoquer une hausse des décés (éliminant les moins adaptés) dont le pic sera de moins en moins haut et de plus en plus large dans le temps, jusqu’a ce que les effets viennent se noyer, donc participer, au bruit de fond de la courbe des décés.

On pourra confiner autant de fois qu’on le desire, cela ne changera rien du tout, si ce n’est appauvrir la société au plus grand plaisir des inetgristes verts comme des classes dirigeantes économiques, politiques qui retrouvent le pouvoir feodal d’avant nos sociétés équilibrées. Et ne croyez pas que cela sauvera les peuples pauvres, ce sont les peuples riches qui rejoindrons le niveau du quart monde.