Commentaire de Clocel
sur Le retour des bons et de la guerre juste


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Clocel Clocel 22 janvier 2021 09:42

Trump n’était sans doute pas le plus pourri, mais c’était le vieux monde qui s’accrochait au rebord de la cuvette pour ne pas partir avec les miasmes de notre temps.

Qu’on en finisse, l’addition de nos égarements arrive, et elle va être salée, nous n’avons sans doute pas assez d’imagination pour envisager les épreuves qui nous attendent.

On peut ignorer le bien mais pas le mal, on peut oublié Dieu, mais pas le diable, il va falloir beaucoup de souffrance pour remettre les consciences en orbite.

J’utilise les métaphores religieuses non par foi, mais parce que c’est ce qui demeure de plus profond en nous, d’inaltéré, pour peu qu’on se déleste des illusions qui les recouvrent.

Dans la tempête et en dernière instance, c’est vers le ciel que se tourne les regards, même ceux des « esprits forts ».


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