Commentaire de lephénix
sur Le cri du coeur brisé
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
@velosolex
seule Suzanne V pourrait répondre — elle vit encore... Une vie de Leonard c’était aussi au service de ces dames, « la chair comme tapis de prière » : il était « victime » de son succès et les fuyait dans le désert, au monastère zen... peine perdue : elles s’y bousculaient au portillon... autant revenir à la « vraie vie » avec le quotidien comme exercice...