Commentaire de velosolex
sur Le cri du coeur brisé


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velosolex velosolex 15 février 2021 23:39

@Philippe Huysmans, Complotologue

Je ne surprendrais personne en disant qu’Hithler était aussi un meneur d’homme. Il a mis un certain temps, cependant à s’en apercevoir. Comme beaucoup d’ailleurs, qui le découvre dans l’exercisme d’un profession, ou s’aperçoive de leur aura sur une scène de théatre. Un peu ce qui est arrivé à Adolph. En 1918, alors qu’il y a le début d’une révolution communiste en Allemagne, l’était decide de former des tribuns, afin de prévenir la propagande par une autre propagande. Aussi, par voix d’affichage dans les casernes, on convie des volontaire afin de prendre la parole devant les soldats. C’est à cette occasion qu’Hitler s’apercevra de son talent, et de son pouvoir électrique sur les foules. Talent qu’on sait qu’il perfectionnera, avec l’aide de professionnels. La machine nazie est avant tout une affaire de propagande et d’emprise. Avant les américains ils réalisent que le cinéma est capable d’un impact décisif. Leni Rifensthal, on le sait tournera « la puissance de la volonté », les dieux du stade. Toute une mythologie inspirée des péplums est au service du parti. Dés lors, plus rien n’arrêtera la machine. Ce qui est sinistre, c’est que la cinématographie allemande et son esthétisme qui donnera la grande vague de l’expressionniste est inspirée par des cinéastes d’origine juives, que Rifensthal pillera et tentera de les faire disparaitre. Pour moi ces sinistres guignols relèvent du crime en bande organisée, à un point omega. C’est la pire expression de la ciminalité humaine, et la pire tentative d’influence sur les foules, s’inspirant il est vrai de pionniers qui leur avait ouvert la voie 


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