Les tests PCR covid, comme les tests sida ; montrent un possible contact avec un virus : pas qu’on est malade.
D’abord, ces tests sont bidonnés : au dessus de TC 35, qui n’est déjà plus fiable qu’à 3%, tous les tests devraient être considérés comme négatifs. Le fait qu’on ne dise pas quel TC est utilisé (en général 40 à 45) montre la volonté de tromper.
Mais après une semaine, le virus a disparu de l’organisme, qui l’a donc vaincu.
Il reste une trace de déchets viraux, et une signature sous la forme d’anticorps détectables.
Ce qu’a fait le virus, c’est de faciliter l’apparition d’une surinfection bactérienne (c’est ce qui fait depuis toujours la dangerosité de la grippe : la surinfection bactérienne. C’est pourquoi les bons médecins prescrivent des antibiotiques dans la grippe).
Le travail du virus est aussi de faciliter une coagulation vasculaire disséminée (CIVD) qui fait toute la dangerosité de l’attaque virale covid.
Donc les mesures à prendre sont de trois ordres principaux.
D’abord, mettre des batons dans les roues de la prolifération virale dès le début de l’attaque virale : c’est le rôle remarquable de l’HCQ et de l’ivermectine.
Ensuite, mettre très vite en oeuvre un traitement anticoagulant basique , et une petite dose quotidienne d’aspirine (aspegic 100) suffit à éviter les CIVD mortelles.
Dans le même temps mettre en place un traitement antibiotique pour contrer la surinfection : azythromycine ou doxycycline.
Les russes ont violé les directives (très suspectes) de l’OMS et pratiqué des autopsies interdites (pourquoi, interdites ? Posez-vous la question.) : elles n’ont trouvé aucune trace de virus : c’est normal, il a disparu dans les 7 premiers jours.
Ils n’ont trouvé que des CIVD.
Ils ont donc renvoyé les malades chez eux avec de l’aspirine et sans doute un antibiotique.
Ne tenez pas compte de la 5G dont on ignore encore le rôle, mais lisez le reste de cet article :
https://urlz.fr/f1bQ