Commentaire de Nicolas Cavaliere
sur « Un Jour Sans Fin » : conquête du temps, amour et liberté
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@Philippe Huysmans, Complotologue
Mon enseignante de lycée serait en complet désaccord avec vous :) Comme quoi, on peut s’améliorer.
Le cerveau prend trop de place dans la « pédagogie » de masse actuelle. Le problème du langage sur support et de l’image sur l’écran c’est qu’ils satisfont l’esprit et ses capacités à imaginer, par là-même court-circuitant le passage plus satisfaisant de l’imagination à l’action. La métaphore du zombie est parfois appropriée. Heureusement, les nécessités de s’alimenter, de parler et de jouer s’imposent à nous, et puisque nous sommes de plus en plus nombreux, entretenir ce merveilleux chaos va devenir encore plus passionnant. On ne pourra pas en rester au stade du numérique et du capitalisme du surveillance.