Commentaire de Nicolas Cavaliere
sur « Un Jour Sans Fin » : conquête du temps, amour et liberté
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@In Bruges
Ou ça :
https://www.youtube.com/watch?v=CjO7qdADCyQ
Ah, c’était un grand, pour sûr. Nik Cohn le massacre quelque peu dans son livre, mais Otis, à l’inverse de PJ Proby, est resté.
En lisant vos « na na na » au départ, j’ai cru que vous alliez poster ce hit :