@Olivier Perriet

Sans doute, mais pour cela il faudrait que la Droite accepte de payer des prisons. Accepte de démanteler des camps sauvages, comme dans l’église Saint Bernard ou dans la jungle de Calais. Accepte de passer pour des vilains fachos. Et on verrait ce qu’elle est capable de faire.

L’exaspération d’une majorité de Français face à ce qu’est devenu notre pays grâce aux conséquences réelles de l’idéologie de nos amis les représentants du Bien sur terre, dont tu sembles faire partie même si tes derniers posts indiquent une posture moins grotesquement bien-pensante, a fait changer l’état d’esprit des gens. Notre état d’esprit. C’est « facho » d’être contre l’immigration incontrôlée au nom des droits de l’homme ? Eh bah soit ! Seuls les bobos et les collabos parisiens ont peur d’être traités de « fachos » dorénavant... Puisque tout ce qui est à droite de Mélanchon et des écolos extrémistes est « facho ». Guerre des mots. Terrorisme du langage. Qui a marché très longtemps. Mais « Ce temps-là est mort », comme a dit une « chance pour la France » dans un fait divers récent à un monsieur qui avait aidé à la faire venir.

Alors ? Alors nous aussi, on va aider. Les droits de l’homme ? Quand les droits de l’homme sont un extrémisme qui entraîne notre pays vers l’abîme en ce moment même, je pisse sur les droits de l’homme. Oh... Salaud ! Facho ! La réalité doit être au dessus des beaux principes. Cela s’appelle la santé mentale. Les chances pour la France qui prennent le pouvoir dans les « quartiers », c’est le résultat d’une lecture pathologiquement extrémiste d’un beau principe. De la merde. Et quand on constate qu’un beau principe devient néfaste pour la communauté, on le suspend. Le temps au moins de régler le problème.

Les idéalistes et les naïfs militants sont des gens dangereux. Mettons-les hors d’état de nuire. Le temps qu’il faudra. Quand ce sera fait, on pourra revenir aux beaux principes de nos amis les francs-macs.