@QAmonBra

Merci de votre réponse. Il me semble que je ne me suis pas exprimé correctement, alors si vous le permettez...

Par peurs je pensais à quelque chose de plus simple que ce que vous suggérez :
— Peur de perdre notre confort et nos possessions (même maigres).
— Peur de devoir renoncer à nos addictions consuméristes (c un peu pareil)
— Peur d’assumer une responsabilité engageant les autres (et soi-même)

Nous ne sommes probablement pas suffisamment malheureux(collectivement bien sûr) pour prendre le risque d’un changement. Jusque-là tout va bien...

Par cartes je pensais surtout au scrutin direct, qui nous permettrai si nous le voulions de confier les manettes au plus « subversif » des candidats.
De proche en proche, il nous est ainsi théoriquement possible de chambouler nos institutions.
Choisir le bon candidat « pour le peuple » est cependant bien compliqué tant l’information dont nous disposons est distordue par le business (oups ! je veux dire l’argent).
C’est là un des biseaux que vous évoquez je suppose.

N.B. : Yes est juste une onomatopée ridicule. Je voulais déclarer mon adhésion sincère à la définition alors que vous l’avez peut être prise pour une moquerie.