@Daniel PIGNARD

< « Le Seigneur, l’Eternel des armées, vous appelle en ce jour A pleurer et à vous frapper la poitrine, A vous raser la tête et à ceindre le sac. Et voici de la gaîté et de la joie ! On égorge des boeufs et l’on tue des brebis, On mange de la viande et l’on boit du vin : Mangeons et buvons, car demain nous mourrons !- L’Eternel des armées me l’a révélé : Non, ce crime ne vous sera point pardonné que vous ne soyez morts, Dit le Seigneur, l’Eternel des armées. (Esaïe 22 :12-14) >
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Oui, pour ma part, je peux aussi prétendre remettre l’extrait que vous citez dans le contexte plus large de la Bible, et cela change encore le sens des choses. 
Car une partie de votre extrait peut être aussi pris pour une allégorie...

C’est toujours le problème : certains disent que tout est vrai. D’autres disent qu’il y a des bouts de vrai et des bouts d’allégories. D’autres encore que le tout est pure imagination.

On n’en sort pas !