Commentaire de C BARRATIER
sur Quand parlent les Centurions : les tribunes et lettres ouvertes de l'Armée Française
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Les militaires ne sont pas à égalité avec les autres citoyens pour décider par la force qui sera ou ne sera pas président. Il y a donc deux choses à faire, désarmer les militaires qui refuseraient publiquement de se désolidariser des factieux, et laisser à tous les citoyens la liberté de s’armer, voire distribuer des armes aux plus menacés.
En 1789, on a eu les mêmes choix à faire, et on a judicieusement choisi que le pouvoir ne serait pas aux gradés mais au peuple et à sa garde nationale.
Avec l’armée de métier au lieu de la conscription, nos soldats sont des mercenaires. Nos impôts n’ont aucune raison de continuer à payer des généraux ou autres soldats retraités qui ont signé un appel stupide contre la République, déjà tant de fois renversée et toujours à nouveau victorieuse.
Il existre certainement des milliers de soldats républicains prêts à combattre le véritable ennemi, comme il y en a eu en Algérie pour neutraliser l’OAS