Commentaire de Renaud Bouchard
sur Quand parlent les Centurions : les tribunes et lettres ouvertes de l'Armée Française
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@C BARRATIER
Quand le Commandement est nul, le résultat n’a rien de surprenant.
Nous l’avons bien vu avec l’extraordinaire cafouillage consécutif à la survenance de l’épidémie de Covid-19.
Imaginons un seul instant une attaque conjointe menée par un ennemi utilisant du matériel conventionnel.
Avec une population soucieuse de ne pas payer 139 euros d’amende, accrochée à sa petite muselière, apeurée, pressée de se faire injecter n’importe quoi dans l’organisme, disposée à accepter un « pass sanitaire » pour ne plus rester à la niche, le tableau est complet et le pays serait à genoux en trois jours.
Comme d’habitude on verrait — ce qui est le cas actuellement — les assujettis « collabos », mentalement soumis -, et les autres, ceux qui restent debout et se battraient.
Pour ma part, je sais dans quel camp je me trouve.
A l’image des forces armées, officiers et hommes du rang qui ont compris à qui elles avaient effectivement affaire.
D’où leur réaction salutaire.
Renaud Bouchard.