Commentaire de Pierre Régnier
sur Et si tout basculait vraiment ?
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Il existe déjà dans l’Etat de Oaxaca (Mexique) une telle manière de vivre un autogouvernement populaire « fondé sur un lien étroit au territoire » ainsi que sur des « pratiques de réciprocité et de construction du commun ». Cela s’appelle la « communalité » et se vit comme un « bien-vivre communal » dans cette convergence entre « capacité coopérative, art de prendre soin du collectif et épanouissement des singularités individuelles »
J’ai souligné le passage de l’article reproduit ci-dessus parce qu’il me paraît pouvoir entraîner un débat sur les moyens de “réparer le monde“. Les deux problèmes posés par cette expérience me semblent être
1/ Sa possible survie dans le capitalisme totalitaire et de plus en plus mondialisé
2/ Sa possible extension au monde entier hors le choix du socialisme mondialisé.