@pipiou2
Vous mélangez deux choses différentes : la surmortalité pendant une période épidémique, et la surmortalité sur une année globale. Dans sa première vidéo sur le sujet, à laquelle je faisais référence, Décoder l’Eco comparait bien la surmortalité pendant deux épisodes épidémiques : la grippe saisonnière de 2017, et le COVID de mars-avril 2020. 
La mortalité sur l’ensemble de l’année peut varier en fonction d’autres facteurs, par exemple le fait qu’il y ait deux pics épidémiques (une épidémie qui traine un peu en début d’année, une autre qui commence plus tôt que d’habitude en fin d’année).

Je parlais bien dans mon article de « l’épidémie grippale de 2017 » et de « La surmortalité du COVID-19 en mars-avril 2020 ». Donc, je comparais 2 épidémies, pas deux années globalement. C’est vous qui avez mal lu et vous êtes mélangés les pinceaux. Ce n’est pas grave, mais vous devriez du coup baisser un peu le ton.

Je n’ai pas bien compris votre « argument » suivant sur la canicule. Il ne s’agit pas de dire que l’épidémie de COVID est mortelle ou non, mais de dire qu’elle est plus ou moins mortelle par rapport à une autre épidémie. Ce n’est pas très compliqué à comprendre, pourtant, la différence entre le relatif et l’absoly, tout ça tout ça...

« Comploot »... Lol. La « reductio ad complotum » a décidément remplacé la « reductio ad hitlerum », mais elle n’en est pas plus intelligente pour cela...