Commentaire de Nicolas Cavaliere
sur Vivre et laisser vivre
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@In Bruges
Ah, c’est le grand blues, façon années 80. Hier après-midi, j’ai vu « Holy Motors », où on aperçoit Bertrand Cantat jouer d’un harmonica pendant un concert dans une église. Et hier soir, « Mauvais sang ». Dans Noir Désir, on sent toute cette ambiance, quand les français, les Bashung, Mylène Farmer, etc. se sont appropriés le post-punk et Bowie et les ont mêlés à leur propre spleen tradition Baudelaire en y ajoutant des pincées d’évasion façon Rimbaud. Le dernier représentant de cette mouvance ça me semble être MC Solaar, ou Grand Corps Malade, quand il est inspiré. Mais dans l’ensemble, les décennies suivantes ont effacé tout ça...