Commentaire de Clocel
sur Vaccins anti-covid : Non, nous ne sommes pas des cobayes !


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Clocel Clocel 20 juillet 2021 18:58

@arthes, Britney for ever

Première chose. Ce n’est pas un vaccin, « mal nommer les choses, c’est ajouter à la misère du monde » disait Camus.

Le mot vaccin rassure, c’est connu, du coup on usurpe la confiance d’un produit pour en brader un autre beaucoup plus aventureux, pas affoler le pigeon.

C’est une « thérapie » génétique dont la finalité pour le moment échappe au commun et à sans doute à pas mal « d’initiés » qui en font pourtant la promotion sur la foi de publications douteuses et pour d’obscures raisons qu’il conviendra d’analyser le moment venu.

Dans cette affaire tout aura été malmené, la science, la sémantique, l’information, les institutions, les droits, les lois, la constitution, les valeurs, les symboles, etc.

Perso, je ne vois aucun inconvénient à ce que vous participiez à une expérience « scientifique », en tant qu’adulte je vous reconnais parfaitement le droit de faire des choix pour ce qui vous concerne, là ou je ne suis plus du tout d’accord, c’est lorsqu’on prétend me les imposer, les imposer aux enfants qui ne sont pas concernés par ce délire covidien.

Concernant les malades du SIDA, ils ont fait l’objet de méfiance au début, mais pour ce que j’ai pu observer autour de moi, il y a eu aussi beaucoup de solidarité, d’empathie et d’accompagnement jusqu’au bout pour ceux qui n’en sont pas réchappés, en revanche la médecine aussi démunie fût-elle au début, a donné tout ce qu’elle avait et les personnels ont été exemplaire.

Aujourd’hui, non vacciné, hospitalisé pour une simple fracture, tu risques faire l’objet d’un chantage, de te faire administrativement rudoyer, de te faire pécuniairement rançonner tant il ne semble pas y avoir de limites à cette hystérie vaccinale.

Merde, ça devrait quand même allumer de lumières rouges quelque part cet acharnement vaccinal que rien d’un point de vue médical ne justifie.

Désolé, mais nous allons retrouver nos problèmes intacts à la fin de la crise, on n’aura juste perdu quelques libertés de plus et on se sera bien bouffé la gueule entre nous pour la grande joie de nos archontes, qui eux, avance tranquillement leur agenda.


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