Commentaire de Hervé Hum
sur Vaccin et non-assistance à personne en danger


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Hervé Hum Hervé Hum 6 août 2021 15:30

@pierrot

Leur incommensurable bêtise obscurantiste génère donc la saturation des lits de réanimation et le personnel médicale qui serait plus utile pour d’autres taches

Parce que vous croyez qu’avoir une foi aveugle dans la technique qui n’a pas encore fait ses preuves et venant de personnes particulièrement adeptes de l’opacité et du mensonge est faire preuve de modernité et de clairvoyance ?

Vous parlez de saturation des lits de réanimation eh bien voyez vous, la question se posait effectivement au début, mais pas après 1 an et demi. Entre temps, il y a eut le vaccin pour tous ceux qui le veulent et ensuite, il y a les interdictions de soins en traitement préventifs et précoces qui persistent. Efficaces ou non, peu importe, soigner est la base de toute médecine, le vaccin n’étant qu’un élément parmi tous les moyens disponibles.

Surtout, ce que vous dites ne justifie pas le passe sanitaire, qui est uniquement un instrument de soumission sociale et non pour raison sanitaire, car depuis le début de la pandémie s’il y a une chose d’avérée, c’est l’inefficacité de ce genre de mesures pour arrêter la contamination et plus encore, l’émergence de nouveaux variants. D’autres maladies dû aux comportement des gens coûtent bien plus en termes de soins hospitaliers et lits de réanimations, pourtant, ils sont acceptés par la société car faisant partie de la nature humaine. Ici, le cas est certes décalé, mais fondamentalement, dès lors où la vie d’autrui n’est pas engagé au delà d’elle même, le principe est que cela relève de la liberté individuelle.

Enfin, soit l’immunité collective naturelle fera aussi son oeuvre et selon certaines études de manière plus efficace que les vaccins, soit de nouveaux variants arriveront encore plus agressifs et où les vaccins actuels ne seront pas efficaces et nécessitera une course poursuite, dans laquelle nul ne saurait prédire les conséquences d’une vaccination chronique. A l’image des antibiotiques.


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