De mon point de vue, les « complotistes » sont une minorité au sein du groupe bien plus vaste qui questionne les politiques sanitaires mises en place.
Objectivement, les plans pandémies longuement élaborés ont été passé au broyeur pour laisser place à une improvisation liée à la peur face au constat de multiples carences et l’incertitude initiale face au risque réel face à ce virus.
Où est la science derrière les confinements en pointillés mélangeant personnes contaminées et bien portantes, le masque en extérieur, les couvre-feux concentrant les personnes dans des lieux clos (magasins) sur des intervalles horaires réduits, etc...
Où est la crédibilité de la parole officielle qui affirme en permanence des choses nullement prouvées puisqu’on n’a pas le recul pour les étayer ?
En mai dernier un article de Nature se demandait encore si ces vaccins de « thérapie génique » (selon la nomenclature de la FDA) protégeaient de la contamination et de la transmission ? Mais la parole officielle était que les « non vaccinés » étaient de parfait égoïstes ne songeant pas aux autres et ne faisant pas rempart contre la diffusion du virus. On sait que c’est faux.
Le dernier bourricot peut comprendre que ce laisser passer « sanitaire » est une gigantesque foutaise qui transforme un document administratif en « test PCR négatif » sans aucune valeur médicale. Où est la science ou même la logique derrière cela ?
C’est bien un amoncellement d’amateurismes, d’incohérences graves, d’affirmations péremptoires démenties par les faits, de décisions supportées par des croyances officielles bien plus que par la science qui sont la base de la remise en cause de la parole officielle.
S’y ajoute l’interdiction du débat scientifique et la mise au pilori de tout lanceur d’alertes comme si un consensus fragile sur une théorie était une garantie de sa solidité à l’épreuve des faits.
On finirait par croire que ce sont les « complotistes » qui ont délocalisés des productions stratégiques, imposés le « zéro stock, flux tendu », la « rationalité des soins » et le dépeçage de l’hôpital public, la réduction du nombre de lits en soins d’urgence plutôt que leur croissance depuis plus d’un an, etc...

La Suède a probablement bien moins de « complotistes » sur son territoire, non sans raisons...