Le principe fondamental de la politique Française est :

( C’est dans les vieux pots que l’on fait la meilleure soupe), étant entendu aussi que réchauffé une seconde fois le met est meilleur.

Ces principes culinaires sont la base d’une bonne campagne, tout au plus modifie t’on l’assaisonnement, afin de faire croire (ou miroiter) que le plat fraichement décongelé aura une autre saveur.

Bavant devant ce met dont le goût est gravé en mémoire, plein d’espoir des saveurs nouvelles relevant ce met, le mougeon le moment venu se précipitera aux urnes pour goûter. 

Se rendant compte bien après mais trop tard, que le plat est « tourné »,.

Alors le mougeon parcourra les rues bêlant son mécontentement, le berger connaissant son troupeau dans un premier temps, en placera quelques uns dans un nouveau pré plein de promesses ou les pauvres bêtes s’enivreront à satiété de cette manne temporaire,

Puis dans un second temps lâchera ses fidèles chiens sur les mougeons récalcitrant, ou plus vicieusement les placera dans un pré tari leur montrant ainsi qu’il y a plus à perdre qu’a gagner..

Tiens, à propos de Monsieur « Z » il me revient en tête une phrase connue, par une certaine génération.

— Mais qui te rend si hardi de troubler mon breuvage,..., Tu sera châtié de ta témérité !

Ecrite en 1668, elle me semble toujours d’actualité !

Une question me taraude, enseigne t-on encore à l’école ces fables ou sont-elles proscrites ?