Commentaire de Hervé Hum
sur Râler en permanence, OK mais que proposons-nous ? Quelle France, Quel monde souhaitons-nous ?


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Hervé Hum Hervé Hum 9 décembre 2021 14:39

j’ai pratiquement toutes les bases d’un modèle socio-économique fondé sur le principe de responsabilité comme ordre premier, directeur, mais voilà, je refuse de l’écrire seul et comme je n’ai encore trouvé personne pour s’associer à moi, cela reste dans ma petite tête.

J’ai écris la plupart de mes articles cette base, en restant pour l’instant aux principes de bases.

Sur la responsabilité citoyenne, sa définition est la capacité de répondre de ses droits et devoirs envers autrui (jamais envers soi même !).

SI le coeur vous en dit, vous pouvez donc aller lire mes articles.

Disons que je vous conseille de lire d’abord ces trois là pour vous donner une idée

droit, devoir et responsabilité

droit, devoir responsabilité et nouveau paradigme

les B.A.L. citoyens (cas pratique mais inséré dans le modèle actuel, donc, avec ses propres limites)

Reste que la responsabilité ainsi définit renvoi directement à l’équité selon laquelle nul ne peut exiger plus de droits (essentiellement monétaire) qu’il n’accomplit de devoirs et nul ne peut se voir exiger plus de devoirs qu’il ne réclame de droits. Encore qu’il vous faut lire les articles sur la monnaie, ici vue comme la mesure de la valeur du temps de vie dédié (à autrui) et détenu (sur autrui) ou temps de vie échangé. D’autres préfèrent parler de la monnaie en tant qu’énergie humaine ce qu’implique la notion de temps de vie dédié, mais je trouve que c’est plus explicite.

Dans le système actuel, celui qui détient la monnaie et les moyens de son renouvellement, détient les droits monétaires, c’est à dire, la face créance de la monnaie et celui qui est en carence de monnaie, détient alors la face dette ou devoir de la monnaie. Autrement dit, il ne suffit pas d’avoir un crédit à rembourser pour être en dette, il suffit juste de ne pas disposer de monnaie. Mais une monnaie a de la valeur à cette seule condition de comporter en elle même une face droit ou créance et une face devoir ou dette, sans cela, c’est une monnaie de monopoly. Etc...

Pour résumer par un aphorisme le socle fondamental du système auquel je pense et qui n’a besoin de rien d’autre techniquement que les outils déjà en place et peut donc être mis en place quasiment du jour au lendemain techniquement, il peut s’écrire de deux formes

L’intérêt général est la somme des utilités particulières à l’accomplissement de la volonté générale, définit par la somme des besoins et aspiration de chacun, dans la limite des droits/devoirs intergénérationnels et du respect des autres formes de vies.

Ou bien,

le laisser faire économique commence là où s’arrête la satisfaction du contrat social et se termine là où commence les contraintes jugées supérieures que sont les droits.devoirs intergénérationnels et le respect des autres formes de vies. Le laisser faire économique est donc la variable d’ajustement de l’économie.

La base logique va chercher son fondement au coeur même de ce qui permet à la réalité d’exister, c’est à dire, le principe de causalité, maître absolue de la réalité (même un Dieu tout puissant doit s’y soumettre) où l’imaginaire est l’ordre second (dans l’imaginaire, c’est la causalité qui est l’ordre second). Du point de vue de l’Univers, l’imaginaire n’est pas un concept, il existe vraiment et c’est sa relation avec la causalité qui permet à la réalité d’exister.

J’ai sous le coude un article explicitant le pourquoi de la réalité, mais je me suis pas encore décidé à demander sa publication...

Voilà, perso, il y a longtemps que j’ai dépassé le stade du râleur pour celui du constructeur, mais encore une fois, si je maîtrise tous les éléments de base, je me refuse à l’écrire seul.


Voir ce commentaire dans son contexte