Commentaire de eau-pression
sur De la Science à la Gnose
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
@piera
Restons donc légers, métaphoriques. Il ne faudrait pas que Kenzia nous espionne.
Tu n’as pas répondu l’autre jour sur la basse zététique, celle qui oublie sa mission de dégager les vraies questions parmi tout ce qui nous interpelle, pour tourner en rond dans leurs explications.
Ceux-là sont du pays des morts-vivants, et comme dans leur nuit (le film) nous tendent leurs bras sardoniques. Je sens chez toi l’envie de leur plaire, et crains que Kenzia ne leur ait trouvé du charme (l’attraction des âmes perdues sur les filles).
Tu ne vois peut-être sur Agoravox que ceux qui cherchent l’explication aux évènements dans leur propre comprenette, poussant de ci de là des raisonnements plus ou moins complexes, avec souvent des perspectives d’avenir sombres. Sûr qu’il faut beaucoup de temps pour discerner les rencontres qui s’y passent (sans compter l’histoire d’amour entre une brouette et une tondeuse volante).
On en rencontre même qui ont perçu qu’il faut croire en son libre-arbitre. L’ironie des preperrones est foi en un monde post-algorithmie, quand la nécessité aura fini de dévorer ses admirateurs. Et le rictus des marcheurs vers la dictature n’est que le signe de la souffrance de l’homme de peu de foi.
Alors, si tu sais où se mettre à l’abri de ces adorateurs de l’absurde, je t’y suivrai avec plaisir.
@B.Dugué
Promis, c’est mon dernier post sous cet article.
Il y a presque 20 ans, je passais devant « Georges » pour me rendre rue Lamartine. « Posons-nous les bonnes questions » est hérité de J.F. Je raconte parfois une anecdote qui met en relief son respect de l’élève. Si vous le rencontrez, transmettez lui celui d’un passager du château (indice : utilisation de l’ordinateur dans l’enseignement), et pourquoi pas cette question : peut-on faire disparaître l’objet de nos raisonnements, pour construire une mathématique du lien ?