Commentaire de Gabriel
sur Arno demande l'addition
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Bonjour Sandro,
C’est à l’essence même d’un soir d’une cuite apocalyptique que j’ai entrevu l’ultime vérité de mon incommensurable ignorance. Nous passons entre les gouttes d’une vie assassine où nos frères d’origines sont devenus ennemis. Par conformisme et égocentrisme, nous soldons nos libertés aux bourreaux et aux geôliers qui nous vendent de fausses sécurités. Les poètes sont morts le jour ou la vie est devenue marchandise. Le soleil s’est ouvert les veines à l’horizon de nos chimères, nous n’admirons plus son agonie, nos regards se sont égarés dans les rayons des supermarchés.
Cordialement,