Commentaire de velosolex
sur Une rencontre qui fait réfléchir : L'homme qui avait loupé le bus de la sénilité


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velosolex velosolex 22 juin 2022 23:49

@Legestr glaz
J’ai été infirmier pendant presque 30 ans, en soins généraux, et en psychiatrie. Aussi je suis assez sensibilié sur la détresse humaine, mais aussi sur les capacités de résilience des individus.
Je dirais même que parfois la maladie peut rendre service à l’homme, à condition bien sûr qu’elle ne soit pas létale.
C’est valable d’ailleurs pour deux pays qui se sont combattus. Comme la France et l’’Allemagne, refusant de continuer un processus destructeur. 
Mais quand la maladie ou la guerre, permet de se connaitre, et de tirer des leçons, on peut estimer que la leçon de vie n’a pas été inutile.
Tout n’est pas néamoins lié à la responsabilité de l’individu, ses choix, ses possiblitiés, en lien avec la pschopathie, ou lié à notre habitude de vie, dans ce monde où déjà Pythagore recommandait aux médecins de faire le tour de la ville, et de se quérir auprès des habitants, de ce qu’ils mangeaient, buvaient, et travaillaient.
Il avait déjà tout compri donc à la systémie, et à l’importance de l’alimentation.
Qui n’est pas tout. Pythagore était sensible à l’osmose, pas à ce qu’il ne pouvait connaitre. Selon l’endroit où vous naissez, socilalement, votre sort est lié à des dynamiques plus ou moins mortifères. La forme génétique de la maladie de Kreutzelb Jacob a une chance infime de vous concerner, ainsi que votre descendance mâle.

Il y a des hommes qui travaillent au bien de l’humanité, et d’autres qui ne pensent qu’à leur vanité personnelle, à leur pouvoir sur la vie des autres. NOn pas pour les sauver, comme Pasteur, mais pour les dominer, ou les tuer. 
Ce genre d’individu lié au pouvoir archaïque, n’a plus sa place actuellement dans la politique, si l’on veut simplement que notre espèce et les autres puissent envisager de continuer à vivre. 
L’homme en ce moment ne vai pas très bien, je pense, en rapport avec un monde qui est inquiétant, autant en termes de valeurs, de propostions d’avenir, et de déséquilibre du vivant. Ne parlons pas du climat et du milieu. Le déni est encore la solution pour les jusqu’aux boutistes, pour tenter de s’en sortir, et de résoudre leur angoisse. 
Ne manque que le retour à la barbarie totale du nationalisme, en lien, comme une réponse névrotique, enclenchant des dynamiques mortifères, qui se solde aussi par le retour à l’utilisation du charbon pour certains pays...
C’est la parabole du vol du papillon enclenchant une ouragan à l’autre bout du monde. Sauf que le papillon est une charge explosive située sous le siège du conducteur. 
 


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