Commentaire de Nicole Cheverney
sur De la guerre d'Algérie - n° 4
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@Decouz
Bonjour, je connais ce témoignage. On ne peut accuser personne de bien précis, les historiens ne s’y sont pas risqués. Les royalistes orléanistes un instant soupçonnés s’en sont vivement défendus.Les gaullistes également s’ent sont défendus. Le jeune homme fusillé qui, certainement manipulé, tenait l’arme ayant servie à tuer Darland, avait été entraîné dans un camp anglais tenu par les services spéciaux (services secrets), au Cap Matifou — Algérie.
Ce qui pourrait accréditer la thèse d’un attentat commandité par les Anglais. Qu’aucune preuve ne peut confirmer. Mystère...
D’autant que Darlan dès que les Américains mirent le pied en Afrique du Nord, le désignèrent comme le véritable Chef de la France Libre et leur principal interlocuteur. D’autre part, Giraud aussi a échappé à un attentat — deux en réalité — une fois raté, la deuxième, blessé par balle.
Qu’en conclure ?
Bien à vous.