Commentaire de LeMerou
sur Pour éviter un « autre Macron » … faut-il changer de constitution ?


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LeMerou 24 novembre 2022 07:14

@Marcel MONIN

Bonjour.

Eviter un autre « MARON » ! Est une chose impossible désormais et depuis un certain temps, nos « politique » en abuse.

Il faut avoir un concurrent, qu’ont laisse vivre pendant cinq ans, puis le jour venu, mettre en route la campagne de « diabolisation », exhumer de vieilles choses et le tour est joué.

Résultat, des gens ont peur et s’abstiennent ou votre contre.

Aujourd’hui un un nouvel acteur est arrivé, une sorte de conglomérat « NUPES » tel est son nom. Pour les observateurs habiles, il est facile de remarquer que dès le début, « leur défauts » sont mis en exergue, même pendant l’exercice de leur mandat, les « Médias » ne font ressortir insidieusement que les points négatifs, que je ne peux citer ici tellement la liste est longue et fallacieuse.

Eviter d’avoir un autre « MACRON », ne peut se faire que part le vote.

L’abstentionniste devenant « contrevenant », car ne pas voter est l’acte ultime permettant de maintenir le système, réduisant légalement la masse votante.

Favorisant l’élection d’une personne. si le Président actuel est légal avec ses plus de 50%, il ne l’est plus si l’on fait le comparatif votant pour lui/nombre de votants total.

Ainsi, dans le système, les blancs et nuls sont comptabilisé, car les votants se sont exprimés, l’incivilité des autres étant exploitée comme il se doit.

Tant que le vote blanc, restera à son niveau d’aujourd’hui, il est d’une aisance extrême de balayer d’un revers de la main, toute contestation de légitimité.

Maintenant si au pourcentage du blanc, est cumulé l’abstention et la folie du contre (élire le moins pire !!!!!!!) , les résultats prennent un tout autre visage. Et nous pourrions avoir un Président élu à 51% de moins de la moitié des votants. Cela ferait tout d’abord ressortir l’absurdité du système et surtout rendre possible un début de contestation de légitimité, car ne représentant qu’un quart des votants.

Je me rappelle après la deuxième élection de notre Président actuel, un journaliste ayant invité des confrères étranger, faire ressortir avec force d’émotion (anormale) le score de M. MACRON et deux de ces derniers lui rétorquant que quand même presque 76% des gens n’avaient pas voté pour lui.

Il y eu un moment de silence radiophonique intéressant, le moment de surprise passé, le journaliste reprenant la parole par un oui, mais 51%.

C’est la démocratie politique Française, ou la moitié de peu représente l’ensemble.


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