Commentaire de Mozart
sur L'aveu de Merkel ou le caillou dans la botte otanesque (Partie I)


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Mozart Mozart 4 janvier 13:34

@roman_garev
Cher ami,
J’ai pris un oignon pour essayer de me tirer une larme en lisant votre post. Il est tellement ridicule. Pourriez-vous en faire de même pour les ukrainiens civils tués ? Et puis faites-en nous un pour Makiïvka (ou plutôt une centaine). Tiens j’ai de la bonté d’âme aujourd’hui, je vais vous le faire :
Cher Monsieur Poutine
Contrairement aux promesses internationales données lors de l’indépendance de l’Ukraine vous vous êtes soumis aux diktats de vos oligarques et à votre totale corruption, nous ramenant au temps du NKVD et à une stalinisation forcenée.
Récemment, avec plus d’une centaine de camarades, nous avons été pulvérisés dans notre casernement. Vous trouverez ci-joint plus d’une centaine d’urnes funéraires, destination ultime de nos corps démembrés.
Mes compagnons vivaient tranquillement au fin fond de notre belle Russie. Nous ne demandions rien à personne, juste de vivre libre et en paix dans nos familles, à regarder les jours, les semaines les années s’écouler dans le douceur des steppes.
J’espère, Mr Poutine, que vous comprendrez votre responsabilité personnelle dans ces massacres envers votre propre peuple mais aussi envers les ukrainiens qui n’avaient rien demandé. Dites-vous bien qu’aucun des criminelles et des corrompus qui nous gouvernent n’échappera à ses responsabilités. Toutes vos victimes vous hanteront jusqu’à la fin de vos jours, qui j’espère, est assez proche. Et comme le grand Victor Hugo, je conclurai cette missive par le célèbre vers : L’œil était dans le tombe et regardait Poutine !


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