Commentaire de SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
sur Aeroflot et l'asphyxie du centenaire


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Par Khider Mesloub.

S’il fallait une énième preuve de la nature dictatoriale de la démocratie bourgeoise, elle nous est répressivement administrée par la politique terroriste antisociale et policière du gouvernement Macron.

Plus que jamais, la démocratie est la feuille de vigne derrière laquelle se dissimule la dictature du capital.  Si en période de « paix sociale », la classe dominante occidentale, et donc française, arbore sereinement le masque hypocrite de la respectabilité « démocratique », en période d’agitations sociales radicalement revendicatives, la même classe dominante apeurée dévoile belliqueusement son véritable visage hideux. Toute sa coutumière phraséologie libérale sur le droit de grève, de manifestation, de circulation, en un mot le respect des « Droits de l’Homme » se métamorphose en son contraire. La répression devient son mode de gouvernance. L’intimidation, sa méthode de gestion barbouzienne. La calomnie, son moyen de communication médiatique. L’incarcération, sa technique de bannissement politique. L’arbitraire, sa conduite procédurale judiciaire. Le mépris, son expression naturelle. La manipulation, sa stratégie étatique machiavélique.

En France, le mouvement de révolte contre la réforme des retraites illustre dramatiquement cette sinistre réalité. Devant la résistance du prolétariat symbolisée par la radicalisation de sa lutte, le gouvernement Macron révèle toute sa cruelle brutalité, son cynisme arrogant, son despotisme « démocratique ». C’est-à-dire Démospotiqme. Le Démospotisme, c’est ce mode de gouvernance occidentale qui a l’apparence de la démocratie par l’élection, mais le vrai visage du despotisme par la gestion étatique.

En effet, depuis que la France légitime, celle du peuple et du prolétariat, s’est enfin réveillée de sa longue léthargie sociale pour s’affirmer politiquement sur son terrain de lutte authentique, la France légale, celle du scrutin financier, élue par ailleurs par défaut (ironie de l’histoire, pour faire barrage au prétendu « fascisme » de la petite blonde inoffensive Marine Le Pen, alors que le Fascisme était déjà royalement intronisé à l’Élysée, incarné par la politique terroriste répressive menée contre le mouvement des Gilets jaunes, les mesures terroristes sécuritaires instaurées lors de l’épidémie de la banale grippe du Covid-19 : confinement totalitaire, interdiction de circulation, couvre-feu, état de siège, attestation de sortie, port du masque obligatoire, vaccination ou plutôt vacc-intoxication obligatoire ; par les politiques terroristes de démantèlement des services publics et des « acquis sociaux ») dévoile son essence foncièrement élitaire, son appartenance sociale bourgeoise, son caractère de classe, sa fonction dominatrice, ses instincts répressifs. Au reste, mardi soir, le 21 mars 2023, au lendemain du rejet des mentions de censure à l’Assemblée nationale, lors du banquet organisé à l’Élysée pour sabrer la victoire de son passage en force en compagnie des principaux oligarques de son camp, Macron, avec son habituel mépris de classe, sur un ton empreint d’arrogance et de condescendance, n’a pas hésité à traiter les millions de manifestants de « foule » et de « meute » n’ayant aucune « légitimité ». Autrement dit, il considère le peuple comme quantité négligeable.


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