Commentaire de Nicole Cheverney
sur Larbins et soubrettes des grands chemins
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@eau-mission
Bonjour,
Vous faites bien de nous rappeler la « chazalisation » de la société. En effet, elle fut un symbole vivant du journalisme au féminin. J’avais lu sur cette archétype de la platitude journalistique, des panygériques à faire palir de jalousie les plus belles stars du 7eme art. On nous présentait le produit, comme le summum de l’intelligence, de la beauté, de l’élégance, de la culture, etc. Pourtant, ce qui transparaissait sur l’écran, ce n’était que la fadeur et l’inexpressivité de la parfaite larbine du pouvoir, un lèchage étudié et conventionnel, parfaitement orchestré par ses patrons.
Pourtant, oui, à côté des « soubrettes mainstream » que je dénonce ici, elle avait un certain maintien, reconnaissons-lui au moins cette qualité-là. Ne serait-ce que par la diction.