Commentaire de Legestr glaz
sur La Seine pas saine : c'est la mare aux couacs !
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@Francis, agnotologue
Je suis stupéfié et effaré devant la « mollesse » et la « servilité » des Peuples.
Il n’existe pas d’étude qui prouve l’efficacité vaccinale. Mais ceci passe, aux yeux du « grand public », comme une lettre à la poste.
Le principe même de la « vaccination » a totalement été démoli. En effet, les vaccinations, c’est le point de vue « officiel », sont supposées « préparer » l’organisme, via son immunité « adaptative » à l’attaque d’un agent « pathogène » que la « vaccination » aura présenté préalablement, d’une manière « atténuée », à l’organisme pour que ce dernier réagisse pleinement s’il advenait que cet agent pathogène pénètre l’organisme dans le futur. L’objet « officiel » de la vaccination est de préparer l’organisme à se défendre devant l’attaque d’un agent pathogène « donné ». Ce n’est « que ça ».
Mais l’on sait maintenant que la dichotomie « immunité innée / immunité adaptative » est une vaste blague puisque l’organisme humain peut identifier le « soi » du « non soi » toujours et tout le temps. Il suffit de se renseigner sur les TLR (La découverte des récepteurs -Toll-like receptors-, a valu le prix Nobel à Jules Hoffmann et Bruce Beutler en 2011, et a permis de comprendre les mécanismes moléculaires mis en jeu dans l’immunité innée) ; les PAMP (motifs moléculaires associés aux pathogènes -Pathogen-Associated Molecular Patterns-) ; les DAMP (motifs moléculaires associés aux dégâts -Damage-Associated Molecular Patterns-) pour mesurer la « supercherie vaccinale ».
L’organisme ne fonctionne pas du tout sur ce principe « d’immunité innée / immunité adaptative ». Le système immunitaire humain est une chaîne de réactions qui engage certaines cellules dans une défense immunitaire qui va « crescendo », le cas échéant. Le système immunitaire agit par « étapes ». L’immunité de « première ligne » étant la plus importante puisque c’est elle qui confine les agents pathogènes à « l’extérieur » de l’organisme. Les choses se compliquent vraiment lorsque cette barrière immunitaire de première ligne a été franchie. Lorsque l’agent pathogène pénètre la circulation sanguine, l’organisme le sait et engage alors d’autres actions. Et cela se fait dans le juste « tempo ». Les « vaccinations » ne changent strictement rien à ces processus immunitaires que déclenche l’organisme. « On » nous fait avaler des couleuvres avec ces vaccinations. C’est bien le système immunitaire humain qu’il faudrait soutenir, lorsque la situation le demande. Mais de ceci, il n’est pas souvent question, si ce n’est jamais.